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Genre : | Drame psychologique |
Année : | 1961 |
Durée : | 121 min. |
Production : |
Emanuele Cassuto
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Réalisation : |
Michelangelo Antonioni
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Scénario : |
Michelangelo Antonioni
Ennio Flaiano Tonino Guerra |
Photographie : |
Gianni Di Venanzo
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Musique : |
Giorgio Gaslini
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Montage : |
Eraldo Da Roma
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Pays : |
Italie France |
Distributeur : | Fox Lorber |
Interprètes : |
Jeanne Moreau
Marcello Mastroianni Monica Vitti Bernhard Wicki Rosy Mazzacurati Maria Pia Luzi Guido A. Marsan Vittorio Bertolini Vincenzo Corbella Ugo Fortunati |
Récompenses | |
Mariés depuis dix ans, l'écrivain Giovanni Pontano et sa femme Lidia forment un couple apparemment uni, alors qu'en réalité, leur amour est presque mort.
It. 1961. Drame psychologique de Michelangelo Antonioni avec Jeanne Moreau, Marcello Mastroianni, Monica Vitti. Deux époux apparemment unis découvrent la mort de leur amour. Étude psychologique subtile et profonde. Traitement d'une beauté formelle raffinée. Rythme lent et introspectif. Fine interprétation.
Roger Nimier (Arts)
Dans LA NOTTE, (...) la société milanaise est chargée de tout faire comprendre, comme un milieu chimique qui décompose les visages et les coeurs. Cette acuité dans l'observation, ce sens des minutes fatales, cette rigueur invisible ont fait d'Antonioni le maître du jeune cinéma européen.
(Texte paru en 1960)
Renaud de Jouvenel (La Cinémathèque Française)
(...) n'est-il pas singulier que Mastroianni, excellent dans la DOLCE VITA et Jeanne Moreau, l'une de nos actrices les plus émouvantes, soient ici si pâles, si neutres! Quand un bon acteur est inexpressif, c'est qu'on ne lui a rien donné à exprimer.
(Texte paru en 1961)
Claude Mauriac (Le Figaro Littéraire)
L'irremplaçable apport d'Antonioni (...), c'est l'emploi délibéré et quasi continu du temps réel. Cette "nuit" (...), il la mène minute après minute et presque sans coupures jusqu'à son épanouissement, puis jusqu'à son évanouissement dans le clair petit jour.
(Texte paru en 1961)
Gilles Hénault (Le Devoir)
On admire dans cette oeuvre la recherche du détail vrai, du dialogue juste, surtout cet extraordinaire accord du décor et du climat intérieur des personnages, le naturel du jeu de Jeanne Moreau et de Mastroianni (...). Ici, la vedette disparaît pour faire place à l'être humain.
(Texte paru en 1961)